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Quelle créature funeste hante le bocage vendéen ? Que signifie ce chant maléfique qui retentit la nuit pour annoncer de singuliers trépas ? Les victimes étant des légitimistes, certains y voient la main des espions de Louis-Philippe qui cherchent à empêcher le retour de la branche aînée des Bourbons sur le trône de France. D¹autres évoquent l¹aloubi, ce passeur du diable qui glisse sur les marais dans sa barque de brume, à moins qu¹il ne s¹agisse d¹une malédiction venue d¹au-delà des mers, dont les exécutants seraient les adorateurs d¹une mystérieuse déesse... Rumeur ou réalité ? Qui croire ? C¹est dans ce climat d¹extrême tension que l¹inspecteur Valentin Verne quitte les bas-fonds parisiens pour une Vendée au bord de l¹insurrection, laissant Aglaé aux prises avec une enquête bien plus complexe qu¹il n¹y paraît, puisque la jeune femme va y jouer son avenir au sein du fameux Bureau des affaires occultes.

Mathieu et Mélina se retrouvent dans la même chambre d'hôpital, l'un en attendant une transplantation cardiaque, l'autre souffrant d'un problème de rein. Tout les opposent socialement, pourtant une complicité se crée entre les deux jeunes. A son retour du bloc opératoire, Mathieu se précipite rejoindre Mélina mais une mauvaise surprise l'attend et va briser son nouveau coeur.

Dans la vie, les gens se croisent ; au rugby, ils se rencontrent ! à Paillar, après la diététicienne, c'est au tour de la sophrologue de rejoindre le club de rugby. Exercices de respiration et de visualisation, travail sur les angoisses et la confiance en soi, harmonisation de la conscience... Après un temps d'adaptation, le PAC et les Paillettes se prêtent volontiers au jeu. Car cette nouvelle stratégie pourrait leur permettre de prendre l'avantage sur leurs adversaires, même les plus coriaces. Pas sûr toutefois que la philosophie de vie adoptée par les joueurs et joueuses de Paillar soit celle que la sophrologue avait en tête...

Les deux doudous les plus sympas de la BD comme vous ne les avez jamais vus. Dès que Marine a le dos tourné, ses doudous s'animent et vivent les plus folles aventures. Malgré tout, ils poursuivent toujours le même objectif : protéger leur petite maîtresse à bouclettes blondes des peurs enfantines. Mais aujourd'hui, rien ne va plus ! Puduk a failli à sa mission lors du dernier orage et il est persuadé que Marine va lui en vouloir et va l'envoyer direct dans le carton des doudous qui ne servent à rien. Même son pote Ramollo n'arrive pas à lui remonter le moral. La seule solution est certainement de trouver un autre responsable des mauvaises nuits de la petite Sister.

« Les enfants, les bébés, ils les appellent les ªpetitousº. Et c'est vrai qu'ils sont des petits touts. Qu'ils sont un peu de leur mère, un peu de leur père, un peu des grandsparents, un peu de ceux qui sont morts, il y a si longtemps. Tout ce qu'ils leur ont transmis, caché, inventé. Tout. C'est pas toujours facile d'être un petit tout, d'avoir en soi autant d'histoires, autant de gens, de réussir à les faire taire pour inventer encore une petite chose à soi. » Dans une ferme, l'histoire se reproduit de génération en génération : on s'occupe des bêtes, on vit avec, celles qui sont dans l'étable et celles qui ruminent dans les têtes. Peintes sur le vif, à petites touches, les vies se dupliquent en dégradé face aux bêtes qui ont tout un paysage à pâturer. Marion Fayolle crée un monde saisissant dont la poésie brutale révèle ce qui s'imprime par les failles, par les blessures familiales, comme dans les creux des gravures en taille-douce.

Que ce soit en vacances chez les Lupiots ou chez ses grands-parents à la ferme, Anatole a toujours mille et une idées pour ne jamais s'ennuyer. Et lorsqu'il s'agit d'aider Olympe qui est terrorisée par madame Martinet, la remplaçante, le jeune garçon sait faire preuve de beaucoup de créativité...